Le 30 novembre 2017 Énergie positive et bas carbone

NEWSLETTER N°5 - Novembre 2017

Avec la transition verte se déploient de nouvelles manières de penser et de faire. La prise en compte de l’impact environnemental du bâtiment par l’Analyse de son Cycle de Vie (ACV) en est une. Tout comme la nécessaire conception de constructions à énergie positive et à faible empreinte carbone. En réponse, YRYS intègre d’ores et déjà ce qui sera la norme de demain.

Le concept d’Analyse du Cycle de Vie (ACV) d’un bâtiment répond à un besoin : celui d’une meilleure connaissance de ses performances sur l’ensemble de ses caractéristiques environnementales.

L’idée est de quantifier les impacts environnementaux (consommation d’énergie primaire, émission de gaz à effet de serre, déchets, consommations d’eau…), en prenant en compte toutes les étapes de son cycle de vie : construction, exploitation et déconstruction.

Cette analyse est réalisée matériau par matériau, système par système, équipement par équipement, notamment sur la base des Fiches de Déclaration Environnementale et Sanitaire (FDES) établies par les fabricants et industriels.

Elle est très poussée puisqu’elle s’intéresse pour un produit donné, bloc béton, brique ou panneau de bois massif (CLT) par exemple, à l’extraction des matières premières nécessaires à sa fabrication, à la fabrication elle-même, au conditionnement, au transport. Et ce, jusqu’au traitement ultime avec mise en décharge, incinération ou recyclage.

 

« Nous aimons à travailler sur l’habitat de demain tant en termes techniques qu’en termes sociétaux et sociologiques, car à travers ce type de projet nous poussons nos travaux de recherche le plus loin possible pour appréhender le logement de demain et ses innovations. »
Bastide Bondoux.

UNE ACV pour quoi faire ?

Le plus souvent, elle est utilisée pour comparer les impacts environnementaux de deux produits. Appliquée au bâtiment, elle donne la possibilité à la maîtrise d’ouvrage et à la maîtrise d’œuvre de comparer les solutions constructives et éventuellement de cerner la plus vertueuse. Ainsi elle mettra en évidence qu’un matériau a, par exemple moins d’impact qu’un autre sur le plan des émissions de gaz à effet de serre, mais davantage sur un autre critère tels le recyclage ou la durabilité. L’ACV permet donc de réaliser des arbitrages dans le but unique de construire des bâtiments durables et vertueux du point de vue environnemental. C’est pourquoi elle est intégrée dans le cadre du label expérimental E+C-, prémice de la future réglementation environnementale qui verra le jour avant la fin de la décennie.

Analyse du Cycle de Vie : ACV

Pour l’Ademe : « L’ACV est un outil d’aide à la décision. Ces résultats peuvent être utilisés pour des besoins d’éco-conception, d’affichage environnemental ou encore d’orientation des politiques publiques. » L’ACV n’est pas propre au secteur du bâtiment et son processus est standardisé par des normes (NF EN ISO 14040 et ISO 14044).

Analyse du Cycle de Vie du bâtiment

BÂTIMENT À Énergie positive et Réduction Carbone E+C-

Label E+C-

Présenté comme unique au monde lors de son lancement en novembre 2016, le label E+C-* pour bâtiment à énergie positive et réduction carbone certifie le respect des bonnes pratiques énergétiques et environnementales pour des bâtiments qui sont à la fois positifs (Bepos) et à faible empreinte carbone, et ce de leur conception à leur démolition. On retrouve là le concept d’ACV. L’objectif revendiqué de ce label volontaire ?

Préparer et se préparer à la future réglementation environnementale pour la construction neuve, attendue à la fin de la décennie. Ainsi ceux qui auront anticipé, comme les concepteurs de la maison YRYS, auront de l’avance et seront prêts à passer le cap réglementaire.

E+ C-* comment ça marche ?

Sa méthodologie a fait l’objet d’une large concertation pour aboutir à la publication d’une méthode et d’un référentiel technique.

D’ores et déjà, BBCA et Effinergie ont rendu leur label respectif compatible avec E+C-*. Accompagné d’un volet expérimental, E+C-* intègre deux approches : l’une, simplifiée, facilite l’évaluation des impacts environnementaux du bâtiment ; l’autre, détaillée, permet aux maîtres d’ouvrage exemplaires de valoriser leurs efforts.

Mais au fait, un bâtiment à énergie positive (Bepos), qu’est-ce que c’est ?

Bilan Bepos

Pour les programmes de recherche Prebat, la définition d’un bâtiment à énergie positive est la suivante : « Un bâtiment ou un site est à énergie positive s’il consomme peu d’énergie et si l’énergie produite sur le site, grâce aux énergies renouvelables, est supérieure à celle consommée (tous usages confondus) en moyenne sur l’année ».

Mais ce n’est pas tout : « Les bâtiments à énergie positive par leur qualité architecturale s’intègrent harmonieusement dans la ville. Ils fournissent aux utilisateurs un environnement intérieur sûr, sain et confortable, et facilitent les comportements éco-responsables. Et pour que ces bâtiments contribuent à la sobriété énergétique globale, leur construction doit être économe en énergie. Tout comme leur localisation, qui doit nécessiter “peu d’énergie” pour le transport de leurs utilisateurs ».

YRYS E+C-* compatible

Bastide Bondoux
Energie Carbone YRYS

Niveau Énergie 3

Le secteur de la maison individuelle s’intéresse bien sûr à ces questions d’impact environnemental. Pour YRYS c’est le bureau d’études partenaire Bastide Bondoux qui s’est penché sur la question.

Et il en ressort, d’après l’étude Énergie Carbone, que la maison est très bien placée en terme de performance énergétique. En effet, elle atteint pour l’aspect énergie le niveau 3 du référentiel E+C-*, qui en compte 4.

« Nous sommes très au-dessus de la RT 2012 », explique Amandine Debrand, ingénieure d’études en charge du dossier. Et d’ajouter : « Je n’ai pas encore vu de projet de maison individuelle au niveau 4, donc le positionnement d’YRYS sur ce plan est très positif ».

Bon positionnement qui s’explique par la performance de l’enveloppe et des systèmes de production d’énergie photovoltaïque avec un pourcentage
d’autoconsommation direct de 37%. Les batteries de stockage permettront d’augmenter l’autoconsommation réelle du bâtiment.

Carbone niveau 1 ?

Sur le plan carbone, les choses sont plus complexes et, pour le moment, il n’est pas possible de savoir comment se situe réellement la maison.

Sachant que pour le carbone, le référentiel compte 2 niveaux. Pourquoi cette difficulté ? « Parce que, précise Amandine Debrand, YRYS intègre de nombreux produits et systèmes innovants, dont les fiches de données environnementales (FDES) ne sont pas encore disponibles, ce qui nous oblige à travailler avec d’autres fiches de produits proches et cela pénalise notre calcul ».

Pour autant, ce calcul provisoire, qui ne peut être pour le moment validé, montre qu’YRYS s’approche du niveau 1.

« Dès que nous pourrons intégrer toutes les fiches, nous validerons l’aspect bas carbone au niveau 1 probablement, mais cela va prendre encore un peu de temps ».

YRYS serait-elle trop en avance ?

COMEPOS projet maison positive

Etienne Wurtz

Etienne Wurtz

Directeur de recherche CEA à l’Ines, pilote du projet COMEPOS : Conception et construction Optimisées de Maisons à Energie POSitive

  • Qu’est-ce que le projet COMEPOS ?

Etienne Wurtz : « C’est un projet qui a été initié en 2011 et qui consiste à développer, avec les constructeurs et industriels, un concept de maison individuelle à énergie positive tous usages (réglementaires et non réglementaires) dans le cadre de l’évolution de la réglementation thermique à l’horizon 2020. Il s’agit de maisons habitées où il fait bon vivre, elles ne sont pas seulement expérimentales. C’est là tout l’esprit du projet. Auquel il faut ajouter la simplicité technologique, l’innovation, la sobriété énergétique et la maîtrise des surcoûts ».

  • Pourquoi y avoir associé les industriels ?

EW : « Nous avons souhaité les réunir autour d’une table pour qu’ils arrêtent de travailler chacun de leur côté. L’idée est qu’ils échangent et travaillent ensemble pour développer leurs compétences. Chacun fait sa part mais en prenant en compte ce que fait l’autre ».

  • Vous avez déjà un peu de recul avec ces 17 maisons construites.
    Quels en sont les premiers enseignements ?

EW : « Le premier serait qu’il est facile d’être positif. Isoler, gérer l’énergie, on sait faire. En revanche, il y a trois points critiques sur lesquels il va falloir travailler.
- Problème n°1, la qualité de l’air : les systèmes existants ne parviennent pas à apporter un air de qualité.
- Problème n°2, le confort d’été lié à la gestion de la ventilation, notamment durant la nuit.
- Problème n°3, les batteries de stockage, actuellement disponibles sur le marché, pour l’autoconsommation de la production électrique des panneaux, ne donnent pas entière satisfaction ».

POURQUOI TRAVAILLER sur un logement « bas carbone » ?

bas carbone

La prochaine réglementation ne sera plus uniquement thermique mais également environnementale. Elle doit permettre à tous d’intégrer la notion d’émission carbone dans notre quotidien. Le développement du véhicule électrique en est une illustration. Le logement est également concerné car il émet jusqu’alors environ 20% des gaz à effet de serre de la France. Les précédentes réglementations ont permis aux logements de maîtriser les consommations énergétiques pour le chauffage et la production d’eau chaude notamment. C’est notamment le cas de la Réglementation Thermique 2012 actuellement en application. La prochaine réglementation, prévue autour de 2020, intégrera les émissions carbone des logements : construction, démolition et les usages des ménages seront pris en considération.

L’enjeu est majeur puisqu’il s’agit de lutter contre les émissions de gaz à effet de serre et le changement climatique qui en découle. De nombreux acteurs adhèrent d’ores et déjà à cette cause, convaincus qu’un monde bas carbone est possible.

Dans le bâtiment, la construction neuve est un des secteurs d’activité sur lequel nous pouvons agir car il est structuré. Elle donnera l’exemple et permettra de lancer un cycle bas carbone vertueux. Les logements neufs ne représentent que 1% du parc chaque année, mais ils représenteront 25% du parc en 2050 ! Surtout, en intégrant les émissions carbone, notamment pour les usages, il n’y aura pas besoin de modifier leur équipement pour changer, le cas échéant, d’énergie par exemple.

L’intérêt de l’énergie électrique, outre qu’elle soit produite en France, est qu’elle est déjà très peu carbonée car issue d’un mix énergétique alliant notamment nucléaire et énergies renouvelables. Les logements chauffés et avec une production d’eau chaude sanitaire à l’électricité sont donc faiblement émetteur de carbone à leur usage. Le Concept YRYS a fait ce choix de l’énergie électrique, notamment avec des équipements d’Atlantic, industriel français très réputé dans la filière.

L'État engage les constructeurs et promoteurs sur cette voie

Fin 2016, l’Etat a lancé une expérimentation autour du label E+C-* qui préfigure ce que sera la réglementation de demain. Elle permet aux constructeurs et promoteurs de calculer l’empreinte carbone de leurs projets. Entre autres enseignements, nous constatons que l’énergie pour le chauffage et la production d’eau chaude sanitaire sont les leviers qui ont une réelle incidence sur l’empreinte carbone de la maison.

En effet, selon le label E+C-*, une maison 100% électrique émettra, sur l’ensemble de son cycle de vie (construction, destruction et tous usages), environ 30% de carbone en moins que la même maison qui aurait eu recours au gaz naturel. Cela lui permettra, en outre, d’atteindre des niveaux d’émissions compatibles avec les objectifs définis lors de la COP21.

Quel intérêt pour les clients ?

Il s’agit d’abord de diminuer l’impact des activités humaines sur le climat. Nous sommes donc concernés, industriels et particuliers. Mais l’intérêt est aussi économique.

D’une part, l’électricité offre une souplesse d’utilisation qui permet d’adapter ses consommations au confort recherché. Les équipements électriques sont désormais de vrais objets intelligents, qui se gèrent à distance et s’auto-régulent. Par exemple, les radiateurs électriques de nouvelle génération s’arrêtent automatiquement lorsqu’ils détectent une baisse soudaine de température, synonyme d’une fenêtre ouverte.

Demain, cet éco système pourra même interagir, pour les mêmes besoins de confort, avec la disponibilité d’une production d’énergie renouvelable, locale ou nationale. C’est le cas dans le Concept YRYS by MFC qui préfigure ce que les innovations d’aujourd’hui pourraient devenir demain en intégrant, par exemple, une solution proposée par Schneider Electric, autre industriel français très réputé de la filière électrique.

D’autre part, les clients acheteurs d’une maison tout électrique n’auront pas à payer la taxe carbone qui concerne les maisons chauffées aux énergies fossiles (gaz, fuel…).

Quel coût pour le client ?

Construire une maison bas carbone, c’est avant tout chercher à optimiser l’empreinte carbone de la maison sans altérer le confort de ses occupants. Il y a plusieurs moyens d’y parvenir. Les matériaux de construction évoluent en intégrant ce critère.

Le Concept YRYS by MFC en est là aussi une illustration avec les blocs béton d’Alkern notamment. Ils disposent d’une meilleure performance thermique pour une empreinte carbone maîtrisée. Si ces matériaux, encore en conception dans les R&D, sont plus onéreux aujourd’hui, ils verront leur coût baisser avec leur développement.

Nous pouvons d’ailleurs prendre exemple sur la pompe à chaleur : construire une maison avec cet équipement est devenu compétitif en comparaison de ce qui se faisait il y a encore cinq ans. Et l’avantage d’une pompe à chaleur, c’est qu’elle utilise de l’énergie renouvelable en puisant les calories dans l’air. Elles sont devenues plus performantes, plus silencieuses et moins encombrantes.

La maison produit son énergie.

Enfin, la maison de demain produira et consommera sa propre énergie.

Sans aller jusqu’au Bâtiment strictement Energie Positive (plus de production d’énergie verte que de consommation d’énergie) qui doit progresser sur certains aspects notamment la saisonnalité, nous assistons à l’éclosion progressive de la production locale, grâce au photovoltaïque.

Associer cette production à un moyen de stockage, c’est donner la possibilité de produire et stocker en journée l’électricité verte locale et la consommer le soir, au retour des activités journalières.

Là encore, le Concept YRYS by MFC démontre cette évolution avec notamment la SmartFLower, moyen de production intelligent qui suit la course du soleil dans la journée pour optimiser la production, associée à Zinium, la batterie non polluante produite à base de Zinc, d’eau et d’air.

Si cela ne s’avère pas encore rentable pour nos clients, le prix d’acquisition de ces équipements devrait rapidement baisser, comme c’est déjà le cas en partie pour le photovoltaïque, et offrir une perspective intéressante à l’avenir.

EDF est convaincue que tel sera le futur : bas carbone et électrique, et œuvre d’ores et déjà en ce sens.

YRYS intègre un ensemble de produits et systèmes lui permettant de maîtriser son empreinte carbone, sa production et sa consommation d’énergie. 

Innovations YRYS énergie positive
Atlantic

Atlantic – PAC air/eau Alféa Extensa Duo AI

C’est la pompe à chaleur design, simple et connectée qui s’adapte aux besoins des logements neufs et répond aux exigences de la Réglementation Thermique 2012. L’Alféa Extensa Duo AI est connectée, vous pouvez ainsi piloter à distance votre chauffage et votre eau chaude sanitaire et visualiser vos consommations grâce à l’application Cozytouch d’Atlantic.

Atlantic

Atlantic - Primocosy

Idéale en construction et en rénovation de maison, la VMC double flux Primocosy est une centrale à haut rendement qui garantie qualité de l’air et confort tout en réalisant des économies d’énergie.

EDF ENR

EDF - ENR – Smartflower

Générateur photovoltaïque intelligent, cette fleur solaire de 18 m2, dotée de 12 pétales suit, via son système de tracker solaire, la course du soleil à la manière d’un tournesol. Elle se déplace selon un double axe horizontal et vertical pour optimiser sa production et produire jusqu’à 40 % de plus qu’un système équivalent en toiture.

Batterie Zinc Air Zinium

EDF – Batterie Zinium

Développé par le centre de recherche d’EDF ENR, cette batterie de dernière génération à base de zinc, d’air et d’eau, est un prototype, elle se caractérise par sa capacité de stockage, restituable sur une longue durée. Autres points forts :
forte densité en énergie et recours à des matériaux non polluants qui évitent les risques de surchauffe.

Solution drainante pour le sol

Alkern – Pavé de coquillage

Eco-pavés en béton de coquillages aux propriétés drainantes. Ici, les granulats de carrière, utilisés habituellement pour la conception du béton, ont été substitués en partie par des coquilles vides marines, considérées comme déchets. Substitution sans altérer les résistances mécaniques de ces éco-pavés drainants.

BMW i

BMW Group – BMW I

Dans le cadre de sa stratégie d’électromobilité, le constructeur automobile a créé la marque BMW i, avec son modèle 100% électrique la BMW i3 et la gamme BMW iPerformance qui compte 5 modèles hybrides rechargeables avec notamment la BMW i8.

AIRium Lafarge

Alkern – Kosmo city / AIRium – Lafarge

Bloc isolant de 20 cm de section, fabriqué à base de granulats légers et doté d’une âme en mousse isolante 100 % minérale. La mousse injectée dans le bloc présente une faible densité (40 à 300 kg/m3 selon les qualités requises) et une faible conductivité thermique (lambda de 0,035 W/m.K à 0,06 W/m.K). Avec elle, le bloc affiche une résistance thermique importante : R = 1,7 m2.K/W.

Impression 3D

Lafarge – Impression béton 3D

Procédé d’impression 3D béton développant une méthode spécifique d’impression 3D de moules en argile, dans lesquels est coulé un béton fibré. Permettant ainsi la réalisation de formes complexes et des finitions de qualité des parements de béton.

Solutions préfabriquées Rector Prédalles

Rector – Béton à Faible Impact Environnemental

Grande première : des éléments préfabriqués constitués de Béton à Faible Impact Environnemental (FIE) !
Afin de réduire les émissions de carbone dans l’air, les prédalles Rector mises en œuvre sur la maison pilote YRYS sont toutes constituées de Béton à Faible Impact Environnemental. Un béton nouvelle génération = Moins de CO2 dans l’air.

Récupérateur de chaleur Rector

Rector – Equalor ®

Innovation Rector, avec le récupérateur de chaleur des eaux de douche Equalor®, réduisez votre consommation d’énergie.

Mortier Colle Weber

Weber – WeberCol Flex Éco

Mortier-colle déformable émettant moins de 50% de CO2 par rapport aux colles traditionnelles. Un mortier en phase pour les constructions bas carbone avec une formulation brevetée qui fait appel à des matières premières issues de la valorisation de coproduits industriels.

Laine de Verre

ISOVER – LA Nouvelle Laine

ISOVER lance une matière douce, écologique, à hautes performances thermiques et phoniques, et avec une nouvelle couleur crème. Véritable concentré d’innovations, LA nouvelle laine est résolument ancrée dans le respect de l’environnement, et est fière d’afficher une conception et une fabrication 100% made in France.

Home Touch Schneider Electric

Schneider Electric – Home Touch

Solution de pilotage et de régulation intelligente et connectée qui repose sur un cerveau (la box), un actionneur de chauffage, un actionneur ballon d’eau chaude sanitaire, des sondes de température, une tête de vanne thermostatique, une prise pilotée, un bouton énergie, un concentrateur… Et bien sûr, l’application smart phone.

Ev Link WallBox

Schneider Electric – EVlink Smart Wallbox

Dernière innovation de la gamme EVlink, la Smart Wallbox plus facile et très performante est la borne de charge des véhicules électriques idéale pour les installations de parking de stationnement semi-public.

Wallbox Plus

BMW - Wallbox Plus

Découvrez le futur de la recharge avec BMW Digital Charging Service qui digitalise l’expérience de recharge. La BMW i3 s’intègre naturellement dans l’écosystème d’une recharge intelligente à domicile. Les avantages : réduction des coûts de recharge, utilisation durable des énergies renouvelables et parfaite transparence.

Soprasolar Duo

Soprema - Soprasolar Duo

Complexe d’étanchéité bicouche en bitume élastomère et équipé d’un film souple photovoltaïque en couche mince (Soprasolar Cell) pour la production d’électricité. Léger, esthétique, il répond aux enjeux de production d’électricité verte et apporte une nouvelle fonction à la toiture-terrasse.

*E+C- : Énergie positive et réduction Carbone.

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